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Discussion:Leo Weisgerber

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Formulation, qui induit en erreur: "bien que n'étant pas membre du NSDAP, Leo Weisgerber est Sonderführer, c'est-à-dire officier spécialiste de la Propaganda Staffel." On inverse ici cause et effet, il était en effet connu pour ne pas adhérer au régime hitlérien, pour cette raison le Gauleiter a refusé au jeune chercheur brillant de pouvoir participer à un congrès à Stockholm, il a finalement quand même obtenu le passeport, suite à une mobilisation de professeurs. De même, son refus d'adhérer au NSDAP a ralenti sa carrière universitaire, c'est un membre du NSDAP, moins qualifié en langues celtiques, qui obtient la place à Berlin. Pour cette raison aussi, il est mobilisé assez rapidement et envoyé en Bretagne comme Sonderführer l'autre professeur, membre du NSDAP, ne sera mobilisé qu'en 1944. Sonderführer n'est en rien une promotion pour un professeur d'université et certainement pas une affectation souhaité pour cet homme qui a su toujours garder ses distances avec un régime, hostile à sa religion catholique, dans la mesure que cela était possible.--2.11.15.194 (discuter) 28 novembre 2016 à 10:22 (CET)[répondre]

Leo Weisgerber anticipated the hypothesis of the existence of a sprachliche Zwischenwelt, a linguistic mediary world, which controls thought. He proposed the theory[ 3 ] that "our understanding is under the spell of the language which it utilizes" (Steiner, 1992: 90). This view was also sustained in the early 1930's by Jost Trier. Edward Sapir and Benjamin Lee Whorf, his disciple at Yale, also exploited this hypothesis in America, where anthropological study of native American cultures had opened new paths to linguistics. Sapir asserted in 1929 that "the 'real world' is to a large extent unconsciously built up on the language habits of the group. [...] The worlds in which different societies live are distinct worlds, not merely the same world with different labels attached." (Steiner, 1992: 91). This hypothesis would be elaborated, through the 1930's and 1940's, into a theory according to which the fact that each linguistic community has its own perception of the world, which differs from that of other linguistic communities, implies the existence of different worlds determined by language.